Sortir des sentiers de randonnée et tenter l’ascension d’un sommet au Népal, c’est à dire, faire de l’alpinisme au Népal, dans les Himalayas, est une expérience unique à vivre une fois dans la vie.

Il y a une grande variété de sommets dits « de randonnée » plus ou moins accessibles techniquement. Le tourisme de masse a rendu l’alpinisme au Népal accesible aux personnes en bonne condition physique et ayant une certaine expérience en montagne. Il n’y a pas besoin d’avoir une connaissance approfondie de l’alpinisme, même si elle est souhaitée.

Un sommet de trekking est un sommet d’une altitude comprise entre 5 800 et 6 500 mètres qui peut être gravi en toute sécurité, avec l’aide d’un guide Sherpa et l’obtention de permis spécifiques pour la personne qui souhaite faire de l’alpinisme au Népal.

Il est important de préciser que ces sommets, bien qu’accessibles du point de vue de l’emplacement et de la technique, nécessitent la capacité de marcher avec des crampons et des piolets, sur le glacier, en traversant certaines crevasses et en utilisant des cordes fixes. Il ne s’agit donc pas de simples randonnées, même si le titre peut le suggérer.

Parmi les sommets les plus célèbres et les plus populaires figurent : Imja Tse (Island Peak – 6189 m), Mera Peak (6 476 m), Lobuje Peak (6 119 m) tous dans la vallée du Khumbu (région de l’Everest ) ; Pic Pisang (6 091 m), Chulu (Ouest, Est et Extrême-Orient – ​​un peu plus long et technique) dans la région de l’Annapurna ; Naya Kang (5 844 m) dans la région du Langtang .

Il est important de savoir que l’ascension d’un sommet au Népal est réglementée par la Nepal Mountaineering Association (NMA) et cela nécessite l’obtention d’un permis d’escalade et l’embauche d’un Sherpa moyennant les services d’une agence locale.